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Articles avec le tag ‘investissement’

Les avantages du placement « pierre »

Le placement Pierre, c’est à la fois:  

** une assurance vie (incluse dans le remboursement et déductible des revenus fonciers)

** un mode d’épargne (qui rapporte en intérêt « loyer » et en capital « +value »)

** une manière de doubler son patrimoine (pour ceux qui sont propriétaires de leur habitation principale) ou de créer un patrimoine (pour ceux qui ne sont pas propriétaires).

** un des seuls placements constitutif de patrimoine grâce au levier de l’endettement

C’est en fait, pour récapituler, un mode d’épargne démultiplicatrice de patrimoine

  • C’est le seul placement constitutif de patrimoine, financé à crédit, dont les 3/4 sont payés par 1/3, le solde par une économie d’impôt et un effort d’épargne réduit.

 

Concernant l’investissement immobilier locatif, le risque d’impayés et/ou de dégradations constitue souvent un obstacle pour franchir le pas.

Aujourd’hui, la pénurie locative dans les grandes villes, ainsi que dans les petites agglomérations limitrophes, et l’augmentation très importante de la demande permettent une sélection rigoureuse des locataires.

Avec toutes les garanties contre les loyers impayés proposées à des prix de plus en plus compétitifs, les dispositifs fiscaux de Robien, Borloo ou Scellier incarnent le juste équilibre de l’investissement à la fois rentable et sûr.

 

 Encore faut-il que le placement soit parfaitement sécurisé! De nombreux commercialisateurs existent aujourd’hui sur ce marché, et les garanties proposées ne sont pas toujours à la hauteur.

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(Anne PELLAZ)

La situation actuelle des besoins immobiliers en France

Pour mieux comprendre pourquoi le législateur incite les particuliers à acheter les logements pour les louer. 

Les besoins d’ordre quantitatif :

            En 1990 :        * 56 millions d’habitants, dont 22 millions de ménages

                                               dont 20,7 millions de résidences principales

                                               dont 2 millions de logements vacants

                                               dont 2,3 millions de résidences secondaires

                                   * 55% des ménages sont propriétaires de leur logement

                                   * 9 millions de logements locatifs dont :

                                               – 50% locatif public

                                               – 50% locatif privé

            En 2010 :        * 26 millions de ménages

 Les besoins d’ordre qualitatif :

* Délocalisation, tertiarisation, héliotropisme

* Retour vers le centre ville

* Axe T.G.V.

* Mixité d’utilisation : loisirs, secondaire, préretraite, principal…

* Diminution du parc locatif privé : 91.000 logements/an de moins entre 1984 et 1988 (Le Moniteur 05/90) et selon l’INSEE 700.000 logements de moins en 10 ans

Les solutions pour répondre aux besoins pressants en matière de logement :

On sait aujourd’hui que l’offre du marché est bien inférieure aux besoins réels des ménages en matière de logements locatifs.

Cet état de fait est essentiellement dû à la croissance démographique et à l’éclatement des familles (de plus en plus de « petits » ménages, même une seule personne, cherchent à se loger individuellement) – d’une part – et au frein étatique de la politique de construction et de gestion de logements ainsi qu’à la réticence des propriétaires à louer leur bien (gestion lourde et garanties insuffisantes, frais annexes importants).

Face à une demande accrue, trois solutions seulement sont envisageables :

            1). L’accession à la propriété (résidence principale) : Cette solution ne fonctionne bien que si elle est accompagnée de financements aidés par l’Etat ou d’aides à la personne, ou dans un marché à la revente fluide. En outre, cette solution oblige l’acquéreur à s’intéresser à un bien qui corresponde, en matière de prix et de surface à ses moyens/besoins personnels, sans nécessairement privilégier la rentabilité (surtout à Paris et R.P. !!!).

            2). Le logement social : il permet de répondre à des besoins d’ordre quantitatif et rarement qualitatif. De plus, les solutions actuellement envisagées sont limitées en nombre.

            3). L’investissement : Incité par des mesures fiscales, c’est cette solution qui permet de développer le marché du locatif dans des conditions de quantité et de qualité satisfaisantes.

Le propriétaire privé investit dans un logement qu’il loue en respectant certaines conditions fixées par décret. En échange l’Etat lui consent des ristournes fiscales importantes (soit sous forme d’abattements spécifiques, soit sous forme de réductions d’impôts).

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(Anne PELLAZ)

Le contexte actuel – Les impôts, les revenus du travail, la retraite…

LE CONTEXTE ACTUEL – Les impôts, les revenus du travail, la retraite…

L’on sait que pas plus de 50% des foyers ne paie des impôts sur le revenu. En effet, le système fiscal français, contrairement à la plupart de celui qui fait référence dans les pays européens voisins (l’Allemagne, la Suède…), s’appuie sur des rentrées d’argent régulières par l’intermédiaire de taxes indirectes (la T.V.A. principalement, la taxe d’habitation …) ou d’impôts qui taxent les entreprises.

Les 50% des ménages français soumis à l’impôt sur le revenu subissent ainsi, au total si l’on considère l’impôt sur le revenu additionné aux différentes taxes et redevances dont ils doivent s’acquitter, une fiscalité lourde.

Ce phénomène est en outre accru par le fait que bon nombre de foyers français sont constitués de couples vivant en concubinage sans être mariés. La fiscalité s’alourdit donc encore plus.

De façon concomitante, l’application des 35 heures a conduit, dans la phase que nous vivons actuellement, à un appauvrissement des salariés, ou en tout cas à des perspectives d’augmentation beaucoup plus réduites. De la même façon les heures supplémentaires ne constituent-elles plus (ou rarement) un moyen de faire face à des dépenses ponctuelles.

Il est donc bien difficile, dans ces conditions, de songer à mettre de l’argent de côté…

Or le problème des Retraites prend de plus en plus d’ampleur. On sait aujourd’hui, et de façon formellement établie, que les rentes servies demain aux retraités ne suffiront plus à leur assurer une existence décente. D’autant que l’espérance de vie qui va en s’accroissant (un trimestre par an!) nous laisse imaginer que si de plus en plus de gens vivent vieux, les besoins en soins divers (assistance médicale, hébergement en centres semi médicalisés, assistance quotidienne pour effectuer les tâches de la vie courante…) iront croissant.

Comment faire pour parvenir à se constituer un complément de retraite à une époque où les frais de fonctionnement d’une famille ne cessent d’augmenter et où on ne parvient pas à épargner des sommes suffisantes en vue de ses vieux jours? Plus on attend, plus la somme requise mensuellement pour constituer un capital ou une rente suffisant augmente !!

Notre réflexion nous a naturellement conduit à rechercher un investissement qui réponde aux 5 préoccupations suivantes:

1)   Face au constat de la baisse permanente du pouvoir d’achat :

     —–> Possibilité d’augmenter ses revenus,

2)   Confrontés au déficits des caisses de retraite :        

     —–> Garantie d’un complément de retraite,

3)   Compte tenu de la volonté de générer un capital sans effort d’épargne trop important :

     —–> Constitution d’un capital significatif (et garanti),

4)   Pour protéger ses ayants droits, comme lors de tout investissement :

     —–> Couverture décès (capital + rente),

5)   Trouver  une solution pour réduire la pression fiscale :

     —–> Comment investir tout en réalisant une économie d’impôts substantielle (jusqu’à 111.00 € de votre chèque d’impôt sur 15 ans),

et ce sans vous demander un effort d’épargne susceptible de trop réduire votre train de vie actuel.

Le « placement-pierre » répond à ces préoccupations et peut constituer un investissement qui conjugue économie d’impôts et revenus réguliers dans le cadre des derniers dispositifs fiscaux, telle la loi Scellier.

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